Paperdolls,
nostalgie dans une
boutique appartement

Une nostalgie romantique, avec pour inspiration la folie et la fantaisie renversante du monde imaginaire d’ « Alice au pays des merveilles », voici l’esprit du concept de boutique-appartement que l’agence Avous a créé pour Paperdolls. Le style est « bobo chic », poétique, subtile, délicat, légèrement désordonné, élégant, et parsemé de petites fantaisies rétros.

La boutique est segmentée et meublée à l’image d’un appartement avec ses différentes pièces : la salle de bain, le dressing, la chambre, le salon, le bureau, la cuisine, et la salle à manger ….. Chaque jeune créateur de prêt à porter, accessoires, bijoux ou chaussures investissent un des mobiliers et l’imprègne de son ambiance.

Des robinets grimpent le long du mur pour servir de présentoir à sacs et à chapeaux ; une baignoire sabot a été découpée pour être transformée en fauteuil d’attente ; la table dressée pour 3 personnes reçoit son quatrième invité fantôme au plafond : chaise, assiette, couverts, et tasse à café ont été dressés pour lui dans un effet miroir ; une cuisinière en fonte accueille la caisse du magasin ; le lit s’enfuit et se retrouve cloué au mur ; les lampes de chevets se font elles aussi la malle et grimpent sur les murs et le plafond…

En collaboration avec l’agence, Anaïs Van den Bussche a chiné l’ensemble des objets et meubles présents dans la boutique.

La boutique Paperdolls

Le concept de la boutique a été relayée un peu partout dans la presse. Dans les magazines féminins comme Elle, Elle Déco, Elle à Paris, Direct Femme, Madame Figaro, Biba, Marie Claire Maison, Fashion Daily News, The issue. Dans la presse Parisienne comme Metro, le Pariscope, Le Bonbon,  le Cool. Dans beaucoup de blog mode et déco comme le journal des Femmes. Quelques extraits:

Le Bonbon – Paris 18 – n°20 / Février 2011 - « une jolie boutique sucrée… dans un lieu imaginé comme un appartement rêvé… il était une fois un pays ou les tasses étaient collées au plafond, les baignoires sabot devenaient des canapés et les lampes de chevet avait la tête en bas… »

Elle – 4 mars 2011 - « … cette boutique au style Alice au pays des merveilles ne passe pas inaperçue… »

Elle à Paris – 6 Mai 2011 - « cette boutique transformée en appartement avec cuisine et salle de bain vaut le détour, ne serait-ce que pour la déco délirante… »

Pariscope – 13 avril 2011 - « quand on passe devant paperdolls, on ne peut s’empêcher de jeter un œil à l’intérieur… pour donner un ton à la fois surréaliste et intimiste au lieu… »

Direct Femme – 2 mai 2011 - « … Nous avons créé un esprit Alice au pays des Merveilles en collant une chaise au plafond ou en clouant un lit au mur, pour que les clients trouvent un détail à chaque fois… explique l’architecte Solène Héry. »

Elle décoration – n°200 - « … on vient chez Candy Miller autant pour sa sélection mode pointue que pour sa déco décalée qui colle au plafond des éléments de mobilier… »

Biba – Novembre 2011 - « la vaisselle constitue la pièce maîtresse et très fun de la déco pour mettre en valeur les vêtements des jeunes créateurs… »

Clothe To Me – 2011 – Blog - « il était une fois une boutique parisienne au concept pile poil dans ma définition du lieu de vente idéal… mais surtout je voulais me promener dans une boutique comme on découvre un lieu où on va habiter : on regarde tout du sol au plafond, le coup de cœur n’est là que si on arrive à se sentir chez soi… l’antithèse de la boutique colette… »

Fashion Daily News - « …valorisé les espaces et les créateurs à l’image des corners des grands magasins… le résultat à lui seul vaut déjà le déplacement… »

The issue – n°0 - « … between two catwalks in paris, running after a taxi, getting wet on this diluvian days, we suddenly found a place full of sunshine… » - Entre deux défilés, courir après un taxi, se mouiller sous ces pluies diluviennes, nous trouvons soudainement un endroit plein de soleil…

Flavor – 9 janvier 2013 - « … ne manque pas d’originalité… avec une déco incroyable… ne soyez pas surpris si vous vous retrouvez face à une baignoire en guise de banquette ou encore une lampe de chevets accrochée au plafond, c’est normal ».

Le Figaro – 30 janvier 2013 - « … une salle de bain, un dressing, une cuisine… non, vous n’êtes pas chez une amie mais dans la boutique… »

Metro – 28 janvier 2011 - « une boutique à habiter »

Petit futé – Paris au féminin - « Fantaisiste, décalé, pétillant, tout comme le choix des modèles en rayons, bref en un seul mot : brillant »

Mélanie Pain chante « How Bad Can I Be » dans le salon de la boutique Paperdolls

Son commentaire sur You Tube : « C’est vrai que nous avons souvent dit que les lieux quand lesquels nous tournons nos sessions sont secondaires. Comptent avant tout la rencontre, ce que les artistes ont à nous offrir ce jour là… plein de petits détails plus importants que le décor. Mais quand on arrive dans des endroits aussi magique que la boutique Paperdolls on est forcé de revenir sur cette idée. Rentrer dans cette boutique c’est ouvrir la porte d’une jolie maison en haut d’une colline, un jour de printemps, c’est rentrer dans le grenier des grands parents rempli d’objets du quotidien qui deviennent tout à coup des objets magiques, des livres ouverts remplis de belles histoires. Vous avez envie de vous asseoir dans un coin et de prendre votre temps. C’était juste l’endroit parfait pour que Mélanie de sa voix incroyablement sensuelle et émouvante nous raconte ses histoires. C’était l’endroit parfait pour l’écouter et se laisser envahir d’un joli frisson. C’est ici qu’avec Sébastien son musicien, nous nous installons et oublions tout le reste, le tumulte du quartier, le temps qui passe. C’était ici qu’il fallait tourner cette session.